Depuis plus de 7 ans, Danny s’épanouit chez Sidcon, où il trouve un parfait équilibre entre sa passion pour la technique et son désir de contribuer à un monde meilleur. Chaque jour, il cherche des solutions intelligentes pour rendre le compacteur enterré plus durable, plus efficace et plus robuste.
« Après des études en génie mécanique au Technovium de Nimègue, j’ai directement intégré le monde du travail. J’ai malheureusement fait un burn-out. Au terme d’une période de repos à la maison, j’ai rejoint Sidcon, d’abord à temps partiel. J’ai repris progressivement et je travaille ici depuis 7 ans déjà. »
« Le courant est tout de suite passé lors de mon entretien avec Reinier (directeur). Le produit m’a également séduit. Nos compacteurs enterrés rendent la collecte des déchets plus efficace et plus durable : moins de trajets, moins d’émissions. Il est important pour moi de contribuer à un monde meilleur. Et la technique sous-jacente me passionne énormément. »
« Je suis très heureux de pouvoir apporter mes propres idées. Parfois, elles font suite à une demande du marché ou d’un collègue, mais il s’agit parfois aussi d’améliorations imaginées par mes soins, pour plus d’efficacité, de durabilité et de rentabilité. Je trouve extrêmement satisfaisant de voir que mes idées peuvent parfois allonger la durée de vie d’un produit. »
« Je suis très heureux de pouvoir apporter mes propres idées. Parfois, elles font suite à une demande du marché ou d’un collègue, mais il s’agit parfois aussi d’améliorations imaginées par mes soins, pour plus d’efficacité, de durabilité et de rentabilité. Je trouve extrêmement satisfaisant de voir que mes idées peuvent parfois allonger la durée de vie d’un produit. »
« Je suis fier d’avoir pu optimiser la coque du compacteur. Au début, elle se cassait assez souvent. J’ai identifié des erreurs fondamentales dans sa conception. Grâce à mes modifications, la coque est devenue indestructible. Cela fait encore ma fierté aujourd’hui.
En ce moment, je travaille sur une toute nouvelle coque : un projet high-tech, qui implique la mise en œuvre de solutions inédites. Reste à voir si tout fonctionnera réellement comme prévu. »
« Il m’arrive de travailler avec Flinc quand le planning est trop chargé et, depuis peu, Maurice m’aide à la fois dans mes tâches et dans la préparation des travaux. Je collabore également beaucoup avec Boris (directeur technique), qui me confie des missions pour de nouvelles pièces ou des améliorations. Je mets aussi parfois les mains dans le cambouis pour tester mes idées en pratique, toujours en collaboration avec le département de production. »
« La communication reste un défi. Souvent, j’ai déjà une solution technique bien en tête, mais j’ai du mal à l’expliquer clairement. C’est aussi vrai dans l’autre sens : lorsque des collègues suggèrent une idée, je dois m’efforcer de comprendre exactement ce qu’ils veulent dire. »
« Je suis très heureux de pouvoir apporter mes propres idées. Parfois, elles font suite à une demande du marché ou d’un collègue, mais il s’agit parfois aussi d’améliorations imaginées par mes soins, pour plus d’efficacité, de durabilité et de rentabilité. Je trouve extrêmement satisfaisant de voir que mes idées peuvent parfois allonger la durée de vie d’un produit. »
« Je suis fier d’avoir pu optimiser la coque du compacteur. Au début, elle se cassait assez souvent. J’ai identifié des erreurs fondamentales dans sa conception. Grâce à mes modifications, la coque est devenue indestructible. Cela fait encore ma fierté aujourd’hui.
En ce moment, je travaille sur une toute nouvelle coque : un projet high-tech, qui implique la mise en œuvre de solutions inédites. Reste à voir si tout fonctionnera réellement comme prévu. »
« Il m’arrive de travailler avec Flinc quand le planning est trop chargé et, depuis peu, Maurice m’aide à la fois dans mes tâches et dans la préparation des travaux. Je collabore également beaucoup avec Boris (directeur technique), qui me confie des missions pour de nouvelles pièces ou des améliorations. Je mets aussi parfois les mains dans le cambouis pour tester mes idées en pratique, toujours en collaboration avec le département de production. »
« La communication reste un défi. Souvent, j’ai déjà une solution technique bien en tête, mais j’ai du mal à l’expliquer clairement. C’est aussi vrai dans l’autre sens : lorsque des collègues suggèrent une idée, je dois m’efforcer de comprendre exactement ce qu’ils veulent dire. »